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Peintre français contemporain, dessinateur, lithographe, graveur, illustrateur, sculpteur. Participe au mouvement de la Jeune Peinture dans les années 50.
 

Plus tard, il fait partie du groupe des Peintres Témoins de leur temps.


On le considère comme un peintre du XXème siècle appartenant à la Nouvelle Ecole
de Paris.

Réalisme
Impressionnisme
Barques Echouées
Figuratif Libre
Art de la Géométrie
Instruments de Musique
Non Figuratif

Période sur l’Art de la Géométrie 1972-1979 

Minaux évolue vers une abstraction géométrique. Par une exploitation très poussée et voulue du thème de « La Femme », son sujet de prédilection, son style pictural s’enrichit encore. Ces grandes femmes très longues, minces, brunes à grands yeux noirs deviennent plus épurées, et les traits d’un visage à peine suggéré. Le corps de la femme est révélé par sa sensualité et l’architecture des formes. Une structure intérieure se dégage, et soudain voici un gros plan, un beau volume d’une grande sobriété. C’est une sculpture, on peut tourner autour, la regarder de haut en bas, tout y est, c’est une synthèse.

 

« Je ne peux me passer de lignes, texture, matière, couleur, mouvement de la lumière, c’est ce qui me motive… » André Minaux

En 1972, chez Maurice Garnier, une exposition présente de grandes silhouettes découpées en bois polychrome témoignant de l’effort de simplification. En 1975, Minaux entreprend une série de « Nus dans l’Atelier » intégrant dans ses compositions chevalets, toiles et châssis. Les traits sont purs, on observe une densité des espaces et un sens absolu de la synthèse. Ces toiles sont fortement structurées et les nus très hiératiques. Les couleurs sont sonores et personnelles : des rouges, des gris-perlés, des bleus intenses caractérisent la facture de ses œuvres. En 1973, Minaux devient graveur avec des silhouettes noires et grises d’impeccable géométrie animées de lignes et de visages.
En même temps Minaux découvre la plasticité et la poésie du pastel.

En 1976, Minaux revient à la lithographie en élargissant sa palette et où « la simplification des lignes s’allie aux grands à-plats de couleur. » Jean Lacouture

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